Le médicament Alfacalcidol est un hypocalorique. Il appartient à un groupe de médicaments utilisés dans le traitement de la maladie cardiaque ischémique (accident vasculaire cérébral), de la rétention hydrosodée et de l'hypertension artérielle.
Le médicament Alfacalcidol est utilisé en cas d'œdèmes d'origine cardiaque, c'est-à-dire en cas de gonflement des parois des vaisseaux sanguins et des veines en raison de la rétention hydrosodée due à une hypertension artérielle, à une hypertension artérielle et à la maladie cardiaque ischémique.
Prendre Alfacalcidol 50 mg à jeun ou 1 heure avant un repas. Le médicament peut être pris avec de la nourriture ou l'estomac vide, mais il est conseillé de le prendre le matin à jeun.
Vous ne devez pas prendre plus de 3 gélules par jour pour obtenir le résultat souhaité et ne pas dépasser la dose quotidienne maximale autorisée.
Les effets secondaires du médicament Alfacalcidol sont les suivants: maux de tête, vertiges, étourdissements, faiblesse, insomnie, irritabilité, faiblesse, nausée, vomissements, hypertension, diarrhée, hypertension, œdème, maux d'estomac, diarrhée, nausée, augmentation du rythme cardiaque, faiblesse, essoufflement, tachycardie et faiblesse.
Il est nécessaire de prendre le médicament Alfacalcidol à jeun pour que le corps reçoive une dose de potassium et de sodium adéquate.
Ne prenez pas de médicament Alfacalcidol si vous avez des problèmes cardiaques, tels que des douleurs thoraciques sévères, des problèmes de rythme cardiaque ou des douleurs au niveau du cœur. Si vous prenez des diurétiques et des médicaments de réduction de la pression artérielle, tels que les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IECA), les inhibiteurs de l'ECA et les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, n'utilisez pas le médicament Alfacalcidol et consultez votre médecin avant de prendre des médicaments.
Le médicament Alfacalcidol est contre-indiqué en cas d'allergie aux dérivés de la coumarine et à la sulfamide hypoglycémiant, notamment la metformine, le glimépiride, la rosiglitazone, la pioglitazone ou la glitazone.
Le médicament Alfacalcidol n'est pas recommandé aux femmes enceintes ou qui allaitent.
Ne pas utiliser Alfacalcidol si vous êtes allergique à la substance active ou à l'un des composants du médicament.
L'association du médicament Alfacalcidol avec un autre médicament peut entraîner une augmentation de l'effet et des effets secondaires indésirables. Si vous prenez des médicaments contenant de l'apo-méthyldrostanolone, de la nifédipine, du métoprolol, de la phénytoïne, du phénobarbital ou de la phénytoïne, veuillez consulter votre médecin avant d'utiliser le médicament Alfacalcidol.
Lors de la prise de l'association Alfacalcidol et de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), vous devez suivre des directives strictes afin d'éviter les effets indésirables des AINS. L'association Alfacalcidol avec les contraceptifs oraux, le kétoconazole, le cimétidine et les nitrates organiques peut entraîner des effets indésirables similaires.
L'aldostérone est un stéroïde de type androgène qui augmente le flux sanguin vers le placenta, la rate, les organes pelviens, les testicules, la prostate et le rectum. La testostérone et la dihydrotestostérone sont les deux principales hormones qui font que le pénis et le scrotum soient tendus. La testostérone fait augmenter le nombre et le diamètre des cellules musculaires dans les testicules et le scrotum, mais elle diminue la capacité des cellules musculaires à se contracter, ce qui explique pourquoi les hommes atteints de diabète sucré ont plus souvent des érections faibles ou absentes. Le flux sanguin vers la prostate est amélioré par l'aldication des 25 ans de l'usine de la Bolloré
Par Olivier LAPEIGNE, "Sud-Ouest" | 20/03/2020
La grande grève des salariés de l'usine de Bolloré à Kourou (Guyane) aura duré 25 ans et aura été marquée par le passage de la violence sociale à la violence sociale extrême. Le conflit social avait pris une tournure politique en 1995 lorsque les employés avaient refusé de participer à la grève générale du 18 mars pour protester contre le maintien en France de l'usine de la Bolloré. Après 148 jours de conflit, la production avait repris, mais le 21 mars, les salariés ont à nouveau fait grève pour dénoncer le démantèlement de l'usine et la menace d'expulsion.
La colère grondait depuis deux ans. En 1997, le personnel avait refusé la reprise de la production de l'usine de Bolloré par le constructeur automobile allemand Volkswagen. Deux ans plus tard, les salariés avaient refusé de participer à la grève générale pour protester contre le démantèlement de l'usine de Kourou. Finalement, les salariés avaient accepté de reprendre le travail et ont fait grève pour protester contre le départ de 1.500 salariés de leur usine vers la Chine.
Le 21 mars 2020, les salariés avaient de nouveau fait grève pour dénoncer la menace d'expulsion de l'usine de Bolloré par la justice. Ce mouvement social a provoqué le départ de la moitié des 2.000 salariés de l'usine.
La violence sociale s'est intensifiée en 2011, lorsque les employés ont entamé une lutte pour obtenir de meilleures conditions de travail. En 2013, la direction a annoncé la suppression de 3.000 emplois sur l'ensemble de l'usine. Depuis lors, les salariés n'ont pas réussi à faire revenir la production à Kourou. C'est pourquoi ils ont de nouveau fait grève.
En 2015, ils ont organisé une marche pour protester contre la fermeture de l'usine de Kourou, et contre l'implantation d'un autre site de production dans la forêt équatoriale de Basse-Terre. Cette action s'est terminée par un échec, les manifestants ont été dispersés par la police. En 2016, les salariés ont de nouveau fait grève pour protester contre la fermeture de l'usine de Kourou. Après plus d'un an de grève, le gouvernement guyanais a annoncé que les deux tiers de l'usine seraient transférés sur le site de Basse-Terre. La fermeture de l'usine de Bolloré a été officiellement annoncée le 9 décembre 2019.
Aujourd'hui, les employés de Bolloré ne veulent pas aller à Kourou, même si l'usine est menacée. "C'est un site stratégique pour le groupe qui est en pleine expansion. On a le plus grand marché de produits dérivés du cacao au monde, donc si on est présent en Guyane, on peut devenir le numéro 2 mondial dans le cacao. L'usine de Bolloré est le plus gros site de production de produits dérivés du cacao au monde. Pour cela, il faut que l'entreprise reste en Guyane."
Le mouvement social s'est poursuivi le 21 mars 2020, les manifestants ayant rassemblé des milliers de personnes dans les rues de Kourou. "C'est la première fois que nous faisons cela depuis 1997. Nous avons eu 3.000 manifestants, et il y en avait 1.500 en 1997. Nous sommes en train d'atteindre des chiffres plus élevés"
Le 21 mars 2020, la mobilisation a rassemblé des milliers de personnes dans les rues de Kourou. "On est allés sur place à 15 heures et on était encore plus nombreux, on a vu que le mouvement social était de plus en plus fort. C'est la première fois que nous avons autant de monde dans les rues de Kourou"
Après la manifestation de Kourou, les salariés ont décidé de poursuivre leur mobilisation. "Nous avons repris les négociations avec la direction de l'usine, qui est basée en France, mais qui a aussi un siège social à Kourou. Nous avons commencé à faire une analyse sur les licenciements, et les 25 ans qui se sont écoulés entre le déménagement de l'usine en France et la fermeture de l'usine à Kourou. Nous avons aussi rencontré les responsables de la justice pour parler des licenciements. Ils nous ont dit que la justice était en train de travailler sur ce dossier et que tout était possible. Ensuite nous avons rencontré les représentants du Medef pour parler de la menace d'expulsion. Nous avons aussi discuté avec des représentants du gouvernement guyanais. Nous sommes maintenant en train de négocier avec la direction de Bolloré"
Le 21 mars 2020, la mobilisation des salariés de Bolloré a été un nouveau succès. "Nous avons pu faire une réunion avec la direction de Bolloré, et la direction nous a proposé de racheter la partie de l'usine qui est sur le site, pour 15 millions d'euros. Nous sommes en train de négocier avec eux. Ce sont des négociations difficiles car Bolloré n'est pas pressé, ce sont des négociations longues et compliquées. Et pour l'instant, rien ne se passe. Nous avons demandé à Bolloré de nous donner une réponse à ce sujet dans les semaines qui viennent"
Alors que les négociations entre la direction de l'usine de Kourou et les représentants des salariés sont bloquées, les manifestants ont demandé aux salariés de continuer la mobilisation. "Nous avons demandé aux salariés de continuer à faire pression sur la direction de l'usine. Nous ne voulons pas retourner dans nos baraquements"
Dans les rues de Kourou, les manifestants ont demandé à Bolloré de revenir en Guyane. "Il faut que Bolloré revienne en Guyane, et qu'il reprenne l'usine de Kourou. Il faut que la Guyane, la France et l'Europe soient d'accord pour que Bolloré revienne en Guyane, parce que c'est une question de vie ou de mort. Bolloré doit venir en Guyane".
Les salariés de Bolloré veulent que l'usine revienne en Guyane. "On a des gens qui travaillent dans l'usine depuis plus de 25 ans, et qui ont vécu le déménagement de l'usine en France. Ils veulent pouvoir revenir dans l'usine. C'est aussi pour eux que nous manifestons"
Les manifestants ont demandé aux salariés de Bolloré de faire la même chose avec l'usine de 12 hectares qui a été rachetée par la direction de Bolloré. "On a déjà une usine de 12 hectares dans le nord de la Guyane, mais cette usine de 12 hectares doit devenir la plus grande usine de produits dérivés du cacao au monde. Les salariés veulent aussi que Bolloré revienne en Guyane pour que l'usine de 12 hectares devienne la plus grande usine de produits dérivés du cacao au monde".
Les manifestants demandent également aux salariés de Bolloré de faire la même chose avec l'usine de 12 hectares qui a été rachetée par la direction de Bolloré.
"Il faut faire la même chose avec Bolloré que nous avons fait avec la direction de Bolloré. Ce sont les mêmes personnes qui nous ont dit que la justice était en train de travailler sur ce dossier et que tout était possible", a conclu Michel Baillard, porte-parole des manifestants.